Au lendemain de l’annonce par Emmanuel Macron du retrait des forces françaises du Mali sous un délai de six mois, le gouvernement de Bamako a demandé, vendredi 18 février, à Paris d’opérer de retirer ses forces « sans délai ».
Le Mali a « pris acte de la décision unilatérale (…) des autorités françaises de procéder au retrait des forces militaires de Barkhane et Takuba, en violation des accords liant la France et le Mali »